le blog jecrideromandamour

Alors que je ne remets plus les pieds sur se site. C'est une façon de parler ou d'écrire, voilà qu'au hasard d'un commentaire scatologique d'un mec qui ne supporte pas la critique je découvre que ce blog est toujours visité. C'est étonnant !

Pour revenir à ce brave garçon, façon d'écrire là encore, je devrais dire ce petit homme blessé dans son amour-propre de mâle qui croît s'adresser à la fine fleur de notre beau pays en photographiant sa meuf le cul à l'air comme un banal et triste amateur du dimanche, manie l'insulte avec une truelle de mauvais maçon.

Même si je me répète : sur ces sites exhib il y a des blogs superbes et des blogs minables c'est normal puisque comme partout le public de mateurs est composé de gens superbes et de gens minables. C'est la vie. Moi j'écris et lorsqu'on écrit on se documente pour savoir de quoi l'on parle. C'est tout et j'en resterai là.

Allez petit défèqueur porte toi bien avec ta ptite pouf, on a les loisirs qu'on peut... ce site ne s'auto-détruira pas mais je n'y reviendrai plus...

Bronzo avait accepté ce job pour faire plaisir à son mandataire habituel. Les histoires de cul n'entraient pas d'ordinaire dans son buiseness. Le repérage du petit couple exib avait été pour lui un jeu d'enfant. Quand on sait percer les systèmes sophistiqués pour le compte des grands prédateurs pénétrer un blog c'était du beurre frais. En y pensant, il se marrait : Brando, le dernier tango, le cul de la petite Scheinder et cette belle tige qu'il pistait lui donnait des envies de salissures, la souiller, ça faisait un bail qu'il n'avait pas eut l'occasion de se rincer l'oeil avec en prime un gros chèque.

Les grands de ce monde sont de grands enfants, imprudents, capricieux, sur un claquement de doigt ils peuvent se faire les plus belles filles du monde et pourtant impérieux ils jettent leur dévolu sur une femme mariée du fin fond de la seine-et-marne qui, certes montre ses fesses sur le net pour un petit peuple de voyeurs frustrés, mais qui ne demande rien d'autre à qui se soit. La France profonde des pavillons, comme le lui avait dit FX, celle qui rêve des stars, qui lit Voici et qui tout au fond est prête à l'aventure pour une nuit sur la Croisette au Martinez. Au fond ça le débectait de piéger cette fille.

Véronique dans la file jetait des regards furtifs toujours dans la même direction. Elle guettait quelqu'un. Bronzo se plaçait dans cette perspective pour repérer celui qui allait y surgir. Les femmes qui trompent le mari savent les rassurer, les tenir là où il faut les empoigner, les mâles ont cette sotte prétention de croire que leur sexe est le garant de leur mainmise. Rien n'est plus faux, la mécanique des corps est souvent un leurre habile qui laisse le champ libre aux folles étreintes, celles que l'on vole, celle que l'on attend, montée du désir, prise de risque rien que pour le plaisir, les petits mots d'amour et les serments oubliés sous l'assaut de baisers fous et de chateaux en Espagne effaçant la petite vie que l'on vit.

- Je la veux...

FX piaffait. Martin et Violaine échangeaient un regard de connivence, la partie leur semblait bien engagée. Restait à manoeuvrer l'impérieux avec doigté, le tenir au bout d'une longe tel un yearling fougueux. Violaine posait son joli cul sur le plateau, jambes pendantes, pour mieux placer le premier antidote capable de tempérer les ardeurs de son cher patron. " Possible mais difficile que de passer au-delà de l'écran mon cher, je dirais faisable avec des moyens lourds, limites, et surtout tu prends le risque de la déception... "

- C'est mon problème. Je veux cette fille pour moi seul. Je suis prêt à tout... FX ponctuait sa déclaration d'un regard qui en disait long sur sa détermination.

Martin se contenta de dire " D'accord... C'est en effet ton problème et je te laisse le soin de le régler. Violaine je te le laisse moi j'ai à faire... " Le plat de la main de FX s'abattait sur le plateau faisant tressauter Violaine. " Tu joues à quoi petite ordure ? A m'appater avec ce cul de reine pour mieux me laisser baver. Tu ne bouges pas d'ici avant de m'avoir donné la marche à suivre... "

- Il n'y a pas de marche à suivre. Cette femme s'exhibe c'est tout. Elle n'est pas à vendre...

- Je ne veux pas l'acheter. Je veux la séduire...

- Vu sous cet angle on peut causer.